Séance spéciale

Grosse Freiheit (Great Freedom) a été présenté en première mondiale au Festival de Cannes 2021 où il a remporté le Prix du Jury. Le réalisateur Sebastian Meise ne se contente pas de livrer une analyse critique de l’article 175 du Code pénal allemand, révisé et atténué seulement en 1969. Son film montre que les sentiments et l’amour n’obéissent pas aux lois des hommes et raconte l’histoire d’un homme qui a un courage et une soif de vie inextinguibles.

Déçu par sa femme Natacha qui a cédé peu à peu aux tentatives de séduction d’un vil capitaliste, Los, ingénieur en aéronautique, a régulièrement des visions d’une belle reine martienne nommée Aelita. Il cherche à la rejoindre alors qu’une révolution se prépare sur la planète rouge…

Alors qu'il n'arrive toujours pas à se remettre d'un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un festival, à Hiroshima. Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu'on lui a assignée comme chauffeure. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé.

Adaptation d'un extrait du recueil Des hommes sans femmes de Haruki Murakami.

Pour la deuxième fois, les Cinémas du Grütli vous convient à une séance spéciale qui fait se réunir les générations  !

Grands-parents et petits-enfants sont invité·e·s à se retrouver, lundi 14 février à 16h30, autour de Jiburo, un film d'une grande poésie et délicatesse où un petit garçon et sa grand-mère apprennent à se connaître et à cohabiter ensemble.

Tarif spécial à 5 CHF !

Au début du XIXe siècle, Thomas Hutter, un jeune notaire, se rend au château de Nosferatu, en Transylvanie, pour y vendre une propriété au comte Orlok. Ce dernier, un être inquiétant au goût prononcé pour le sang, va prendre possession de sa nouvelle demeure située en face de celle de Thomas et de sa bien-aimée Ellen. Dès son arrivée, la peste s’abat sur la ville.

Avant-première du film Careless Crime de Shahram Mokri

Il y a 40 ans, la révolution iranienne était sur le point de balayer la dictature du Shah. Mais son principal soutien, le monde occidental, et sa culture, furent aussi visés. Des cinémas furent brûlés et l’un de ces incendies fit 478 victimes. Ce drame va-t-il se reproduire dans le présent en pleine projection ?

Projection unique le mardi 22 juin à 20h30 suivie d'une rencontre avec le réalisateur.

En collaboration avec le FIFOG.