Séance spéciale

Italo Calvino, l'écrivain perché

À l'occasion du centenaire de la naissance de Italo Calvino, en collaboration avec La Maison Rousseau et Littérature (MRL), projection unique du film Italo Calvino, l'écrivain perché, de Duccio Chiarini, le mercredi 6 décembre 2023, à 18H00.

Les Classiques

Poursuivant notre présentation de l'Histoire du Cinéma à travers les projections de Grands Classiques Incontournables, nous sommes heureux de vous proposer le chef-d'oeuvre de Howard Hawks, Le Port de l'angoisse (To have and have not).

Projections le dimanche 22 octobre 2023 à 17H30 et le jeudi 26 octobre 2023 à 19H00.

Les Classiques

Perfection technique et artistique de la fameuse MGM. Chaque objet, chaque éclairage témoigne de la recherche et du goût de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Le décor, c'est Londres 1870, enveloppé par le brouillard. Cukor évite avec beaucoup d'intelligence toutes les scènes paroxystiques, et le choix d'Ingrid Bergman, rayonnante (premier Oscar pour elle), est remarquable. Charles Boyer et Joseph Cotten sont deux types d'hommes, plongés dans le Londres équivoque du XIXe siècle, celui de la Reine Victoria, mais aussi du Docteur Jekyll, de Dorian Gray, de Jack l'Éventreur.

Plans-Fixes: Jane Friedrich

Avec ses mots, son vécu et son imaginaire, Jane Friedrich dit du théâtre qu’il est « aventureux ». Alors, on la croit sur parole quand on lui fait remarquer qu’elle est une grande comédienne – un mètre 72 répond-elle dans un sourire  plus de 50 ans sur les planches, en Suisse, à Paris et dans la France de la décentralisation.

Louise Brooks, l'icone

À l'occasion de la parution du roman, «Un dernier charleston, Louise», de Daniel Bernard, projection exceptionnelle du chef-d'oeuvre de Georg Wilhelm Pabst, Loulou (Die Büchse der Pandora, All, 1929), avec l'icone Louise Brooks, dans le rôle qui l'immortalisa.

Projection mercredi 6 mars 2024, à 20H15.  Suivie d'une discussion avec Daniel Bernard.

Les Classiques

Charlton Heston, Janet Leigh, Marlene Dietrich, Akim Tamiroff… et aussi - voire surtout - Orson Welles lui-même, parfaitement monstrueux dans le rôle d'un policier aux méthodes peu orthodoxes. Dernier film américain d'Orson Welles est un chef-d'oeuvre crépusculaire, dont le plan-séquence d'ouverture a marqué l'Histoire du Cinéma. Photo somptueuse, noir et blanc sublimes, rythme fiévreux, musique de Henri Mancini, un film aussi d'une suprême noirceur qui sonné le glas à Hollywood pour Orson Welles: montage final qui ne plaît pas à la Universal qui l'a complètement remanié.

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