Focus Robert Wise
A Hollywood, Robert Wise fit tous les jobs du cinéma avant de devenir d’abord monteur (La splendeur des Ambersons de Welles), puis de tâter comme réalisateur de tous les genres, du film noir (Nous avons gagné ce soir) au film d’horreur (La Maison du diable), du western (Les Rebelles de Fort Thorn) à la SF (Le jour où la terre s’arrêta) ou à la comédie musicale (West Side Story). Et même de la série B fauchée (La Malédiction des hommes-chats) à la superproduction (La Mélodie du bonheur). Dans tous ces genres, il excella. Nos amis Jan Jouvert et Julien Camy, de la revue Peeping Tom consacreront ce week-end à ce cinéaste américain qui conjuguait inventivité et direction d’acteurs parfaite.