Sweet Sixteen
Dans quelques jours, Liam aura seize ans. Jean, sa mère qui est en prison, doit être libérée à temps pour l'anniversaire de son fils.
Liam rêve d'une famille comme il n'en a jamais eue et redoute l'influence de son grand-père, comme celle du compagnon de sa mère. Il veut un foyer, un endroit sûr pour sa mère, sa soeur et lui-même...
Un scénario à arracher des larmes et qui pourtant jamais ne tombe dans le mélo, une descente aux enfers en forme de polar à rebondissements, un regard lucide mais jamais méprisant sur les laissés-pour-compte du libéralisme britannique, et des interprètes, le plus souvent non professionnels et recrutés dans la ville même de Greenock, criants de vérité, notamment le jeune Martin Compton (...), que l'on n'est pas près d'oublier : rude, très rude, le nouveau Ken Loach, mais nécessaire.
Annie Coppermann, Les Echos
Ken Loach est unique dans sa manière d'exprimer le possible jusque dans l'échec du devenir humain.
Françoise Audé, Positif