NICOLÁS GUILLÉN LANDRIÁN
Les jambes dansent, les oiseaux sont stoïques, les alligators valsent. À travers ses courts-métrages, Landrián capture l’essence de Cuba, inaltérable une fois saisie. Ce cinéaste afro-descendant révèle une mosaïque des réalités cubaines des années 60, entre rires et méfiances, d’une usine scrutée aux divinités afro-cubaines invoquées, en passant par des joueurs de dominos et des miliciens. Victime de censure, son regard fin et subversif défie l’oubli.
> En un barrio viejo (Cuba - 1963 - vost fr - 9')
> Los del baile (Cuba - 1965 - vost fr - 6')
> Reportaje (Cuba - 1966 - vost fr - 10')
> Ociel del toa (Cuba - 1965 - vost fr - 17')
> Un festival (Cuba - 1963 - vost fr - 10')
> Coffea Arábiga (Cuba - 1968 - vost fr – 18’
> Taller Claudio A. Camejo de Línea y 18 (Cuba - 1971 - vost fr - 15')