La Hora de los hornos

Le volet Néocolonialisme et violence, première partie de La hora de los hornos, d’abord projeté clandestinement, témoigne d’une utilisation du cinéma comme instrument politique, à travers des organisations politiques, syndicales et étudiantes dans l’Argentine des années 1960. Il propose une exploration (dé)contextualisée de la lutte, de l’exil, des inégalités, des injustices, de la souveraineté populaire et de la démocratie.

Cannes 1969