Fleurs d’équinoxe

Sept ans après que le cinéma japonais se soit mis à la couleur, Ozu tourne son premier film en Agfacolor. Il y exprime une fois de plus son aversion pour les mariages arrangés. Certains lui ont cependant reproché d’avoir un peu perdu dans cette histoire sa subitilité en caractérisant trop ses personnages. Fleurs d’équinoxe reste néanmoins un très beau film, avec notamment cette grande beauté graphique qui est aussi sa marque.